Regards sur le Monde

 
 
 ARGENTINE
 
BARILOCHE
 
DU 7 au 15 mars 2012


 

 

MERCREDI 7 MARS 2012
 

     Nous arrivons à Bariloche, nous avons survolé encore une fois la Cordillère, c'est magnifique.
 


 

     La ville de Bariloche est, en hiver, la station de ski la plus réputée du pays, ou toute la jet-set s'y retrouve. Mais hors saisons comme actuellement, la ville est plus calme et a des tarifs plus abordables.

    Nous prenons deux taxis, ils roulent au gaz, et ont une énorme bouteille dans le coffre, ce qui diminue d'autant la place pour les bagages.

    Nous roulons une quinzaine de minutes, et nous traversons une splendide ville construite (en ce qui concerne le centre-ville) en grande partie en bois. Notre hôtel est au centre-ville. Nous réceptionnons la chambre, simple, pas très grande, mais suffisante pour nos besoins.

    Le point négatif vient des prises électriques, soit cassées, soit hors de portée (très haute), ce qui oblige à faire des connexions très limites. De plus, la salle de bain est extrêmement petite.

 


 


 

     Après nous être reposés, nous allons faire un tour. C'est une ville balnéaire, tout est donc fait pour le touriste, mais la ville a un charme certain, et nous prenons beaucoup de plaisir à parcourir ses rues.
 


 


 


 

     Nous allons manger à la Mecque du tourisme, c'est-à-dire, Macdonald, le premier qu'on trouve depuis des semaines, ça se fête. Les sandwichs doivent être faits à base de viande du pays, car ils sont particulièrement bons.

    Notre balade nous entraînera jusqu'à la place centrale, ou se prépare une manifestation. Les autorités veulent ouvrir une mine d'or à ciel ouvert, et les habitants s'y opposent à cause des risques de contamination de l'eau par le cyanure (on serait inquiet à moins.).

 


 


 

     Nous continuons notre balade, puis nous rentrons tranquillement à l’hôtel.

 


JEUDI 8 MARS 2012


     Ce matin, mauvaises surprise, il y a des puces dans les lits. Et on se fait latéralement bouffer.
 

     De plus, le mélangeur de la douche ne marche pas, on a le choix entre gelé et bouillant. Bref, on va à l'accueil qui nous change de chambre. Sans être nickel, elle est tout de même bien mieux. On verra a l'usage.

   Après un bon déjeuner copieux, je remonte à l'accueil, mettre au point nos sorties futures. Je leur demande de me réserver une voiture pour le lendemain, et pour 4 jours.

    Puis nous irons tranquillement nous promener en ville. Nous verrons sur la place principale, une attraction appréciée des Argentins, mais à laquelle je ne vois pas grand intérêt, c'est de se faire photographier avec un st-Bernard. 3 ou 4 propriétaires de chien attendent le client. Bizarre.

 


 

     Nous allons prendre un verre dans la rue principale, puis nous partons manger dans un restaurant, tout simplement parce que le nom nous plaisait, et que cela nous permettait de faire un clin d’œil à la famille Marcadier avec qui nous avons passés de super moments en Australie et en Nouvelle-Zélande. (le restaurant s’appelle le Marca)
 


 


 


 


 

     Hé bien, c’était très bon. Après un dernier tour, nous rentrons à l’hôtel. Nous y restons jusqu'au soir, ou nous ressortirons manger une fondue savoyarde excellente.

 


 

     Les enfants retourneront à l'auberge pendant que j'irai faire un tour au casino. Je n'y reste que 10 minutes histoire de boire un verre.

 

 

VENDREDI 9 MARS 2012
 

     Réveil 8 heures, à 9 h, nous allons chercher la voiture, une petite Chevrolet, toute à l'ancienne, avec les vitres manuelles et tout et tout.
 


 

     Nous prenons la route à 10h. Notre GPS (acheté en Australie) fonctionne à merveille.

     Nous roulons en pleine pampa pendant une demie heure. De temps en temps, nous croisons un barrage de police. Ce sont en fait des postes fixes, annoncés par des panneaux bien à l'avance, il n'y a ni amendes ni pièges (ça fait rêver hein?) ils vérifient uniquement les identités, et si tout va bien.

 


 

     La route est très belle, après une heure de route, nous voyons nos premiers lacs. Nous ferons plusieurs arrêts afin de profiter du paysage.
 


 


 


 

     Aux alentours de Midi 30, nous arrivons à un beau village de montagne appelé : Villa la Angostura. Nous y faisons halte, tout d'abord pour prendre le temps de la visiter (nous avons tout notre temps.), puis pour le repas. La nourriture en Argentine est très bonne, la viande est excellente.
 


 


 

     Nous reprenons notre route et nous traversons plusieurs parcs nationaux magnifiques, mais en travaux, les routes sont en construction, et nous avons donc 40 kilomètres à parcourir sur des routes caillouteuses, boueuses et difficiles (une voiture devant nous cassera son carter sur un caillou). Mais quels paysages. Nous voyons les magnifiques lacs pour lesquels nous sommes venus. Les paysages sont dignes de l’île du sud de la nouvelle-Zélande, magnifiques.
 


 


 


 


 

     À un arrêt obligatoire à cause des travaux, nous ferons la connaissance de 3 Français, jeunes voyageurs d'une soixantaine d'années avec une patate d'enfer, qui font le tour de l'Argentine. Nous nous retrouverons régulièrement, car bien évidemment, nous ferons les arrêts aux mêmes endroits. Rencontre très sympathique.
 


 

     Durant notre périple, nous aurons également l'occasion d'approcher de très prés (à le toucher) un rapace. Il attendait posé sur une barrière à une aire de repos. Rencontre rarissime, et incroyable.
 


 


 

     Ce qui surprend également, c'est une poussière blanche omniprésente. Elle recouvre le sol, les eaux, et le sommet des montagnes.
 


 

     Il s'agit en fait de silice. Ce sont les résidus qu'a laissé un volcan qui est entré en éruption il y a quelques mois (une fois qu'on me la dit, je me suis souvenu l'avoir lu sur un site gouvernemental).

     Nous ferons encore quelques arrêts, panoramiques, puis nous arriverons à destination, le village de montagne, «San Martin de los Andes».

 


 


 


 


 

     Le village est sympathique, nous décidons d'y passer le nuit, et ainsi, pouvoir en profiter un peu.

     Nous trouvons un hôtel au centre ville (nous sommes en basse saison.).

     Nous prenons la chambre et nous y resterons, la journée a été fatigante, la route splendide, mais difficile.

     En fin de soirée nous sortirons faire un tour. La ville est très belle. Malheureusement, nous oublierons l'appareil photo a l’hôtel. Mais ce n'est pas bien grave, nous nous rattraperons demain.

     Nous trouverons un restaurant chinois excellent dans une rue parallèle a l’hôtel.

 
Puis nous irons nous coucher.


 

 

SAMEDI 10 MARS 2012
 

     Réveil à 8h. Petit dej a l’hôtel. Et nous partons nous promener en ville. Le village n'est pas bien grand, mais il est très agréable. Nous en faisons le tour.
 


 


 


 

     Nous trouvons une salle de jeux ou Laugan et Mélodie passerons un agréable moment (et moi aussi d’ailleurs).
 


 


 

     Puis nous reprenons la même route qu'à l'aller. Nous ferons un arrêt supplémentaire, sur un lieu de prière improvisé dont l’Amérique du Sud a le secret. De tous ceux que nous ayons vus, celui-ci est le plus imposant, et comprend plusieurs autels.
 


 


 


 


 

     Nous refaisons la route jusqu'à villa la Angostino, ou nous faisons également un arrêt repas, puis nous retournons à Bariloche en suivant un grand moment une voiture tractant une caravane dont le chauffeur ne devait pas savoir où était sa droite.
 


 


 

     De retour à Bariloche, nous ne faisons rien d’extraordinaire, et nous ne sortirons que pour le repas. Demain, une autre aventure nous attend.

 

DIMANCHE 11 MARS 2012
 

     Réveil à 8h30, le temps de nous préparer, de déjeuner, et nous prenons la route pour le parc national Nahuel Huapi, et le Cerro Tronador, qui est un volcan d’où s'écoule un glacier, dont la glace est noire.

Nous passons par les hauteurs de la ville. Le GPS nous conduit vers les quartiers pauvres, une petite piqûre de rappel, histoire qu'on se souvienne de l'iniquité de la vie.

 


 


 

     Puis nous parcourons une trentaine de kilomètres dans un splendide décor de lacs et de montagne. Malheureusement, le temps n'est pas avec nous, il pleut et il fait froid.
 


 


 

     Nous empruntons une route de montagne, caillouteuse. Et nous arrivons à l'entrée du parc.
 


 


 

Un garde nous explique la marche a suivre :

   tout d'abord 20km de mauvaise route. Puis prendre la bifurcation du Tronador. 40Km de très mauvaise route, à travers montagnes et forets. On doit y arriver avant 14h, et la descente n'est autorisée qu'à partir de 16h. Ça évite aux voitures e se croiser et d'en voir une tomber dans un ravin.

   Puis re-descente des 40 km, et une nouvelle piste de 20 km pour aller jusqu'à une cascade. Retour avant 19H, heure ou le parc ferme.

   Forts de ces recommandations, nous partons. Les premiers 20 km sont pénibles mais pas infaisable.

 


 

     Nous arrivons à l'embranchement. La route pour la cascade est fermée, et nous empruntons comme prévus celle du volcan.

    La route caillouteuse se transforme rapidement en piste caillouteuse.

 


 

     Nous ne pouvons passer qu'a une voiture. Et les possibilités de faire demi-tour sont très rares. Nous devons éviter des arbres ou des gros rochers tombés au sol. La route est tout de même entretenue, on voit que les zones particulièrement dangereuses, ont étaient nettoyées, mais ce n'est pas le moment de s'endormir.
 


 

     Les paysages sont splendides, et nous ferons un arrêt à une zone indiqué afin de mieux en profiter. La pluie est toujours là, et hormis quelques rares éclaircies, elle ne nous quittera pas de la journée.
 


 


 


 

     Nous arrivons au poste de gendarmerie, qui ouvre ou ferme la barrière entre 14h et 16h. Nous sommes a l'heure. Nous arrivons à une première base, avec une ou deux resto. Je vois deux bus arrêtés, je préfère aller directement au sommet, je ne voudrais pas être obligé de suivre les bus sur les derniers kilomètres.

La route est tout aussi mauvaise, et les paysages aussi beaux.

 


 


 


 


 

     Nous arrivons à une grande aire de stationnement, avec en contrebas, ce qui ressemble a une carrière, il n'y a que des pierres à perte de vue. Mélodie qui a envie de marcher, prend le chemin, et le descend. Elle nous appelle, nous nous y rendons. Il ne s'agit pas de pierres, mais du glacier noir dont on nous avait parlé. Si Mélodie n’était pas descendue, nous le rations.

    De là ou nous sommes, nous voyons bien le cratère du volcan, point de départ du glacier. Peu à peu, la glace se noircit au contact de la terre, jusqu'à avoir l'apparence de la roche une fois arrivée à destination. C'est incroyable.

 


 

     La glace peu à peu fond, se détache, et se fracasse sur un bras de rivière, comme le Perito Moreno, mais en moins impressionnant tout de même. Vision fantastique et hors du commun. Qui mérite à elle seule le déplacement.
 


 


 


 


 


 

     Nous continuons les derniers kilomètres qui nous séparent du sommet. La pluie redouble d’intensité, et nous en profiterons pour nous restaurer à l'unique restaurant du lieu.

      La vue est très belle, dommage que la météo gâche un peu le spectacle.

 


 


 

     Nous empruntons (à pied) un chemin qui suit la paroi rocheuse. Si au début, l’ascension est facile, la pente devient de plus en plus raides.

Un premier point de vue s'impose.

 


 


 

     Mais sans nous décourager, sous la pluie et en terrain glissant, nous irons jusqu'au bout du chemin.
 


 


 


 


 

.     Une vue magnifique s'offre à nous. Nous y restons un moment, puis le froid nous a obligés à redescendre.
 


 

     Nous reprenons la voiture, et nous rebroussons chemin. Nous serons obligés d'attendre quelques minutes au poste de gendarmerie en attendant l'heure d'ouverture de la barrière. Puis nous refaisons les 40km a sens inverse.

    Arrivés à l'embranchement voulu, nous bifurquons vers les cascades. Nous parcourons la vingtaine de kilomètres nécessaires à travers une route encore plus étroite et caillouteuse que la première (mais également très belle). Pour au final trouver le pont fermé.

 


 


 

     Obligé de faire demi-tour, nous prenons la direction de la sortie. Et nous rentrons à Bariloche.
 


 


 

     Mais avant de rentrer, nous faisons un détour par un restaurant que nous a conseillé un couple d'amis, chez «Ola Nicolas» qui a le meilleur chocolat chaud et les meilleures gaufres de la ville. Malheureusement, il est fermé le dimanche. Ce n'est que partie remise.
 

 

Nous rentrons, et nous passons une soirée paisible.

 

 

LUNDI 12 MARS 2012
 

     Ce matin, nous devons rouler une bonne heure, afin de nous rendre par téléphérique, au sommet d'une montagne et avoir un point de vue magistral sur la région. Puis nous avons tout un programme en voiture.

    Les enfants ne veulent plus de voitures, je tente de négocier. Lorsque Laugan me fait comprendre qu'il préfère faire l’école. Ce fut le déclic pour comprendre qu'ils n'en pouvaient plus. Nous ferons donc journée tranquille.


    Repos le matin pour tout le monde. À midi, nous allons dîner, puis nous allons visiter la magnifique cathédrale de Bariloche.

 


 


 

     Elle n'est pas immense, mais elle est vraiment splendide. De magnifiques tablettes de bois, sculptées en ornent les murs, et les vitraux sont splendides.
 


 


 


 


 

     Sur le chemin du retour, nous voyons une statue de la louve nourrissant Rémus et Romulus.
 


 

     En guise de travail scolaire, Mélodie devra trouver, apprendre et nous raconter la légende. En ce qui concerne Laugan, puisque demain, nous avons prévu de visiter le musée du chocolat, il doit nous en expliquer la fabrication. Bien sûr, il y a également les cours habituels (math et autres délicatesses).

     Le soir, nous allons retenter le fameux «ola Nicolas», qui sera ouvert. Mais ils ont dû changer de propriétaire, car il n'y a plus de gaufres, et le chocolat chaud est quelconque. Par contre les chocolats (à croquer) sont excellent, et nous en achetons une boite.


Repas et repos.


 

 

MARDI 13 MARS 2012
 

     Aujourd'hui, nous avons décidé de visiter le musée du chocolat. Mais auparavant, nous devons rendre la voiture. Sur le chemin du retour, nous achetons 1 kilo de framboises, dites un prix pour voir ? Ne cherchez pas, c'est le prix de 100 grammes chez nous, 4€50 (et elles sont très bonnes.).

    Nous déjeunons de croissants et de framboises, puis nous quittons l’hôtel. Nous grimpons dans un taxis, et nous sommes au musée en 5 minutes.

 


 


 

     Nous avons un peu d'avance, il n'ouvre qu'à 11h, et il est 10h30. Nous en profitons pour faire le tour du quartier.


    Nous voyons des télésièges en fonctionnement juste a coté du musée. Nous nous approchons pour prendre des renseignements, ils montent jusqu'à Cerro Viejo, le sommet le plus haut de la ville. Ou il y a un point de vue aménagée. Et cerise sur le gâteau, il y a la possibilité de faire la descente par un toboggan géant (ça va nous rappeler la grande muraille.).

    Mais avant, le musée du chocolat. Il est encore fermé, mais la boutique est ouverte. Nous nous y rendons, et comment résister, nous prenons un assortiment de chocolats (tous excellents) que nous dégustons à l'extérieur. Bariloche étant la capitale argentine du chocolat, autant vous dire que certains d’entre nous y ont copieusement goutté.

 


 


 

     Le musée ouvre enfin. Une personne au guichet nous met en garde, il n'y a aucune photo, aucune visite, il s'agit uniquement d'un récit en espagnol sur l'histoire du chocolat.

    Tout ça pour ça, autant allé voir sur Wikipedia (même si je ne suis pas un fan absolu).

    Mais rien n'est perdu, car nous nous rendons directement aux télésièges. Je ne suis pas fan de ce genre d’exercice (vertige), mais que sommes nous pas prêt à faire pour nos enfants.

    Il n'y a que 8 minutes de télésièges, mais elles me paraissent le double.

 


 


 

     Nous atteignons le sommet, et nous marchons une centaine de mètres pour nous rendre au point de vue, il y a un café restaurant fermé, nous sommes hors saisons et nous sommes les seuls à profiter du paysage. La vue est très belle, et on fait chauffer l'appareil photo.
 


 


 


 

     Nous faisons une partie de la descente à pied, afin d'atteindre le point de départ du toboggan. Puis sur le même principe que celui de la grande muraille (en bien plus court), nous descendons le plus vite possible.


L’expérience est bien sympa.


    Nous remontons jusqu'à centre-ville à pied. Très vite, 3 chiens se mettent à nous suivre. Ça arrive souvent, il y a beaucoup de chiens errants, mais aucun n'est agressif.

    Je ne sais pas ce qui les ont pousser à nous suivre, mais ils le feront pendant tout le trajet du retour.

    Arrivés sur la place centrale, nous faisons une expérience. Chacun de nous marchera dans une direction opposée. Histoire de voir la réaction des chiens, et notamment d'un, qui marchait a nos pieds, a notre cadence.

 


 


 

     Il a commencé par suivre Mélodie, puis a fait demi-tour, s'est couché et n'a plus bougé. Les deux autres n'ont eu aucune réaction.

    Pour faire plaisir à Laugan, nous allons manger au mac-do. Même si ça reste du fast-food, la viande est particulièrement bonne ici, et on sent que les légumes sont frais.

    Une fois Laugan rassasié de la salle de jeux du mac-do, nous sommes allés au musée patagonique nommé Perito Francisco Moreno (comme a peu prêt tout en Patagonie).

    Le musée retrace la vie des Indiens et des premiers colons de la Patagonie. Il est très bien documenté, et nous y passons un long moment.

    Il accueille également une partie histoire naturelle, et activités volcanique.

 


 


 


 


 


 


 

Le musée est petit, mais très beau et intéressant.


    À la sortie, les enfants veulent être pris en photo avec les saints Bernard. C'est une tradition ici. Tous les Argentins de passages, veulent cette photo. Et nous ne couperons pas à la tradition.

    Les modèles qui poseront avec les enfants auront pour le plus vieux deux ans, et pour le plus jeune quarante jours. Les enfants ne se lasseront pas de jouer avec eux.

 


 

 

     Puis ce sera moins drôle, mais nous rentrerons à la maison pour le travail scolaire. Nous ne sortirons que pour le repas du soir.

 

MERCREDI 14 MARS 2012
 

     Aujourd'hui, nous sommes dans l'organisation, c'est notre dernier jour à Bariloche, demain nous partons pour Buenos aires. Puis nous avons décidé de rajouter une nouvelle destination, avant le Mexique : l’Uruguay pour 15 jours.

     Mais pour l'instant, nous partons en ville, je dois racheter un nouveau disque dur externe, le mien a pris deux chocs qu'ils lui ont été fatals. Nous n'avons pas perdu grand choses (car j'ai plusieurs sauvegardes) hormis près de 400 films. Mais ce n'est pas bien grave.

     Je n'ai pas trop le choix, ils ne sont pas bien riches en disque dur. J’achète le dernier d'un magasin, de 320 GO. Mais c'est mieux que rien.

    Repas, un dessert à base de chocolats, à se demander comment on n'a pas fait une crise de foie (surtout Mélodie).

    Puis nous retournons à l’hôtel, les enfants ont école, et moi, je m'occupe du disque dur.

Nous ne ressortons que pour le repas du soir.

 


 



 

 

JEUDI 15 MARS 2012
 

     Dernière matinée à Bariloche. Les employées de l'hôtel, ont étés sympas, elles nous ont permies de garder la chambre jusqu'au dernier moment.

     Après un copieux déjeuné, nous faisons les valises, nous allons manger, et nous allons chercher nos dernières affaires a la laverie. Nous rentrons juste à temps pour prendre notre taxis.

     Nous arrivons à l’aéroport, tout va bien, nous sommes à l'heure. Puis on ne sait pas pour quelle raison, nous aurons 1 bonne heure de retard avant d'embarquer dans l'appareil, alors qu'il est là, devant nos yeux, sur le tarmac.

     Dans la file d'attente, nous ferons la connaissance d'un couple de Toulousains, (le monde est petit.). Ils ont fait la grande boucle du nord de l'Argentine, et repartent dans 3 jours pour Toulouse.

     Nous embarquons, et ils seront mes voisins de voyage. Nous discutons de nos voyages respectifs, de Toulouse, etc.. Le vol me paraîtra bien court. Bonne continuation à eux.


 

 page suivante
 


 

Afficher la suite de cette page