Regards sur le Monde |
USA (du 27 avril au 27 juin 2012) NEW-YORK (19 au 27 juin 2012) Puis, nous prenons le métro, direction le célébrissime empire state building qui est redevenu après les attentats du 11 septembre le bâtiment le plus haut de la ville. Incroyablement, nous ne le voyons pas, et nous ne trouvons pas de panneaux indiquant le bâtiment, en fait nous nous trouvons à l’arrière de l’immeuble et nous le voyons une fois dessous. Nous cherchons l’entrée principale, et nous tombons sur un bonhomme d’où part une file d’attende, nous comprenons que les gens attendent pour acheter les billets permettant de visiter la tour. Nous attendons notre tour, et le type essais de nous vendre le voyage jusqu’au sommet, deux attractions, un cinéma et une animation 4D, et la possibilité de passer devant tout le monde grâce à ses pass de l’attraction complète. Le prix est exorbitant, je lui explique que nous voulons visiter la tour, pas l’acheter, mais en très bon commercial, il insiste. Je refuse de me faire prendre pour un pigeon, nous avons déjà visité des tours bien plus hautes et belles que celle-ci, a ces prix-là, je préfère un bon restaurant. Anne Marca n’est pas très convaincue non plus, mais d'autres insistent. Au final, nous y allons avec la fâcheuse impression d’avoir été les pigeons de la farce. Nous montons un étage, et nous arrivons à une seconde file d’attente pour la projection du fameux film sur l’empire state building. Nous attendons une vingtaine de minutes avant que notre tour arrive, car nous devons rentrer 20 par 20. Je suppose que pendant ce temps, ceux qui ont payé le tarif normal sont déjà au sommet de la tour. Notre tour arrive enfin, et nous arrivons dans une salle noire sans décorations ni chaises, et sur des petites télés posées en hauteur, passe un reportage minable sur l’immeuble ou l’on n’apprend pas grands choses sinon que ça ne mérite pas l’attente effectuée. Puis des personnes nous indiquent un parcours fléché, que nous suivons tels les moutons de base. Une nouvelle porte s’ouvre, et nous voyons un appareil de fête foraine a deux balles, ou l’on s’assoit sur des fauteuils reliés à un mécanisme qui le fait bouger en tous sens pendant que passe un film. Comble du bonheur, les sièges sont prévus pour des nains rachitiques et je n’y rentre pas. Au comble du désespoir (bien évidemment, c’est de l’humour, je suis plutôt ravis de m’enfuir), je décide de sortir de la salle et d’attendre les autres à ce qui sera le hall commercial avec ses boutiques de souvenirs, au cas où désespérés, nous achetions quelques choses avant de nous jeter dans le vide. La dernière attraction a duré moins de 3 minutes et fut encore plus minable que la première, no comment, cela ne vaut vraiment pas la peine que je décrive le sentiment de chacun. Nous prenons l’ascenseur qui nous dépose au 86éme étage de la tour, où se trouve une terrasse a l’air libre sur 360°. Nous pouvons embrasser du regard tout new York. La vue est magnifique, malheureusement un grillage entoure le balcon, et gâche un peu le paysage, mais nous comprenons qu’il est nécessaire pour la sécurité de tous. Nous resterons une bonne heure à cet étage dérangé toutefois par des averses régulières, décidément, ce sera un jour sans. À cet étage, se trouve également une machine, ou nous devons encore payer un supplément afin de pouvoir atteindre l’observatoire 16 étages plus hauts, ils nous prennent vraiment pour des vaches à lait. Tout simplement minable. Nous redescendons, et nous passons par l’entrée principale du building ou sont affichés les prix d’entrée qui sont 3 fois moins cher que ce que nous avons payés. Nous contournons le bâtiment et nous tombons nez à nez avec la même équipe que notre vendeur escroc (même uniforme), mais lui, n’est pas là. Ni une ni deux, en colère la plus acharnée de nous tous attrapent un vendeur au vol, lui dit que sa société vend de l’escroquerie, qu’elle est prête à empêcher leurs prochaines ventes en faisant un scandale en pleine rue si nous ne sommes pas remboursés. Étonnement, dans ces circonstances, l'anglais revient très vite. Après le choc passé, le gars interpellé veut nous faire comprendre que s’il y a un vendeur qu’il fait des tarifs prohibitif, ce n’est pas la faute de sa société. Nous lui montrons les factures que nous avions gardées, nous comprenons que notre bonhomme n’est pas à son coup d’essai. Notre interlocuteur téléphone à son directeur qui nous verrons dans la minute. On lui explique à nouveau, nous lui montrons les factures, et il téléphone à l’escroc qui arrive de suite penaud en train de raconter du flan pour ne pas se faire virer. Mais on continue sur notre lancée toujours au milieu de la foule. Le directeur propose aux filles de reprendre la conversation dans son bureau (loin de la foule et des ex-futurs clients). Nous attendrons Richard les enfants et moi pendant une dizaine de minutes. Quand les filles redescendent elles ont étés remboursés de la moitié de la somme Quand les filles redescendent elles ont étés remboursés de la moitié de la somme (même si les attractions étaient pourrit nous les avions faites).. Énorme. Après cette aventure, nous décidons de retourner à Times Square, la nuit commence à tomber, ce sera une première pour les Marca, et nous avons promis à Laugan qu’il pourrait se choisir un jeu ou jouets chez Toysarus. J’en profite également pour aller m’acheter un téléphone portable, mais le vendeur est tellement oppressant et pressé de le vendre qu’il doit forcément y avoir une arnaque quelque part, et je préfère m’abstenir. Laugan choisit des figurines de super-héros dans le toysarus grandiose. Puis après un balade sur la place, nous allons dans un restaurant, car aujourd’hui est un jour spécial. Nous fêtons les anniversaires de Mélodie et d’Adrien. Le repas est très bon, et la surprise réelle. La serveuse nous amènera un gâteau en chantant joyeux anniversaire. Nous rentrons par le métro à notre hôtel. Journée riche en aventures. |