USA (du 27 avril au 27 juin 2012)
NEW-YORK (19 au 27 juin 2012)
NEW-YORK (19 au 27 juin 2012)
MARDI 26 JUIN 2012
Aujourd’hui est un jour à la fois avec et sans.
Avec, car nous allons voir la statue de la liberté.
Sans, car c’est notre dernier jour à New-York, mais également aux états unis.
Nous nous rendons en métro au quai des ferrys, comme nous avons réservé les billets la veille, nous sommes prioritaires sur ceux qui attendent sans réservation et nous montons rapidement à bord (un bateau part toutes les 30 ou 45 minutes, tout le monde pourra atteindre sa destination). La statue n’est pas loin, nous pouvons la voir depuis les quais.
La traversée est rapide, le bateau s’éloigne de Manhattan, tout en se rapprochant de la fameuse statue.
Aujourd’hui est un jour à la fois avec et sans.
Avec, car nous allons voir la statue de la liberté.
Sans, car c’est notre dernier jour à New-York, mais également aux états unis.
Nous nous rendons en métro au quai des ferrys, comme nous avons réservé les billets la veille, nous sommes prioritaires sur ceux qui attendent sans réservation et nous montons rapidement à bord (un bateau part toutes les 30 ou 45 minutes, tout le monde pourra atteindre sa destination). La statue n’est pas loin, nous pouvons la voir depuis les quais.
La traversée est rapide, le bateau s’éloigne de Manhattan, tout en se rapprochant de la fameuse statue.
Il la contourne afin d’arriver à son quai d’attache, et nous sommes déjà scotchés par la majestuosité de la statue.
Nous débarquons selon une organisation bien précise, car nous sommes nombreux à descendre et nombreux à monter.
Une fois sur l’île, nous commençons par aller chercher nos audios guides avec la traduction française, il est indispensable pour comprendre l’histoire de la statue, mais, comme celui que nous avions utilisé à la prison d’alcatraz, il est excellemment bien fait, rempli de témoignages émouvants qui aident à la compréhension, mais qui montrent également le coté humain lié à la statue.
Armés de notre boîtier, nous faisons chacun à notre rythme le tour de l’île et de la statue. Le moment est tout simplement magique. La statue est surprenante, elle n’est pas qu’imposante, elle est splendide, avec des traits très fins, je ne l’aurais pas imaginé ainsi, elle trône sur son socle, elle est impressionnante au-delà de ce que j’avais imaginé, c’est incroyable et émouvant.
Malheureusement, des travaux nous empêchent de nous en approcher autant que nous le voulons, mais qu’importe, c’est déjà extraordinaire d’être là.
*
Les heures passées ici me semblent des minutes, mais nous devons reprendre le ferry, la visite n’est pas terminée, le prochain arrêt sera à Ellis Island, l’île ou les immigrés étaient triés avant de prétendre à poser les pieds en Amérique, et où se trouve actuellement le musée de l’immigration.
Nous reprenons le ferry qui nous conduit en quelques minutes à notre destination. Nous accostons face à un immense bâtiment.
Nous pénétrons dans un hall immense, devant nous se dresse un mur d’anciennes valises et bagages de toutes sortes. Nous commençons par prendre nos audio guides (indispensable, et de grande qualité).
Avant de commencer la visite, nous allons manger dans le self du musée, dont les saveurs ne nous laisseront pas un souvenir impérissable.
Puis nous commençons par le fameux hall avec ses valises et ses photos. Puis nous grimpons à l’étage par les escaliers. Nous apprenons que déjà à ce niveau, la sélection commençait, des observateurs notaient ceux qui avaient des difficultés à gravir les marches, signe de mauvaise santé.
Tout en haut, se trouve la salle d’enregistrement, immense. Au centre de la salle des pupitres, ou, un par un, les migrants étaient comptés, et subissaient un interrogatoire. Aujourd’hui, cette salle a été louée par une école pour une remise des diplômes. Nous restons ici un moment en tant que spectateur. Des discours s’enchaînent, des remises de diplômes et de trophées également, les étudiants sont tous en uniforme universitaires (comme nous pouvons le voir dans certains films) etc… Tout ceci est très nouveau pour nous, et très intéressant.
Nous nous séparons de manière à ce que chacun fasse la visite à son rythme. Nous visitons plusieurs salles.
Une sert au contrôle médical. Une autre au test d’intelligence, une autre est dédiée aux femmes et aux enfants. Dans une autre, est assis l’équivalent d’un psy, une autre d’une assistante sociale, dans une autre, on va changer la monnaie des arrivants contre des dollars etc…. Un trie est fait tout le long de la chaîne, parfois des familles sont séparés, parfois, c’est le refus, etc….. Mais on sent bien qu’ils ont essayé d’être le maximum humain, et de prendre soin des personnes. Malgré tout cela reste un trie, une tache administrative, qui laisse peu d’espace aux sentiments.
La visite fut instructive, intéressante, mais également émouvante, quand ont essais un tant soit peu de se mettre à la place de toutes ces personnes arrivant de leurs pays lointains. Visite à faire absolument.
Nous reprenons le ferry, pour rentrer à New-York que nous atteignons en une vingtaine de minutes.
Nous finissons notre dernière soirée à times-square avant de rentrer à l’hôtel, ou nous veillons un bon moment en compagnie de nos amis. Demain, nous nous envolons pour le Canada, et eux, continuent quelques jours à New-York avant de rentrer en France.
Que du bonheur de vous avoir rencontré, nous nous reverrons, c’est sur
MERCEDI 27 JUIN 2012
Départ de bonne heure pour l’aéroport de Newark, ou nous prenons notre avion en direction de Toronto. Un dernier coup d’œil sur New-York, ville extraordinaire, à la fois géante et accueillante. Une ville que nous avons du mal à quitter.
MERCEDI 27 JUIN 2012
Départ de bonne heure pour l’aéroport de Newark, ou nous prenons notre avion en direction de Toronto. Un dernier coup d’œil sur New-York, ville extraordinaire, à la fois géante et accueillante. Une ville que nous avons du mal à quitter.
Bilan USA
C’est un pays tout entier que nous quittons à regret, les états unis ne sont pas ce que les ragots racontent, les Américains sont souriant et accueillants, bien sur les pauvres sont très pauvres, les riches très riches, mais ce n’est pas la France, seulement une autre culture, une autre histoire, ce n’est ni mieux ni moins bien, tout simplement diffèrent, mais tellement loin des stéréotypes qu’on veut bien nous faire croire.
La plus grande idée reçue est que les USA est le pays de la mal bouffe, je vous assure que c’est faux, ils n’ont rien à nous envier, leurs plats sont succulents, leurs vins sont aussi bon que les nôtres, mais je pousserai tout de même un cocorico en ce qui concerne le pain et le fromage. Leur problème est la quantité, ils sont restés sur des portions dignes d’un cow-boy chevauchant la prairie à la recherche de vaches perdus.
Ce serait trop long de vous dire à quel point les usa sont à visiter pour la beauté et la diversité de ses paysages et par l’accueil des états-uniens. Donc pas d’hésitation à avoir si vous avez l’intention de vous y rendre.
C’est un pays tout entier que nous quittons à regret, les états unis ne sont pas ce que les ragots racontent, les Américains sont souriant et accueillants, bien sur les pauvres sont très pauvres, les riches très riches, mais ce n’est pas la France, seulement une autre culture, une autre histoire, ce n’est ni mieux ni moins bien, tout simplement diffèrent, mais tellement loin des stéréotypes qu’on veut bien nous faire croire.
La plus grande idée reçue est que les USA est le pays de la mal bouffe, je vous assure que c’est faux, ils n’ont rien à nous envier, leurs plats sont succulents, leurs vins sont aussi bon que les nôtres, mais je pousserai tout de même un cocorico en ce qui concerne le pain et le fromage. Leur problème est la quantité, ils sont restés sur des portions dignes d’un cow-boy chevauchant la prairie à la recherche de vaches perdus.
Ce serait trop long de vous dire à quel point les usa sont à visiter pour la beauté et la diversité de ses paysages et par l’accueil des états-uniens. Donc pas d’hésitation à avoir si vous avez l’intention de vous y rendre.
Afficher la suite de cette page