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ROUTE ENTRE CAIRNS ET ALICE-SPRINGS DU 9 AU 12 NOVEMBRE 2011 SAMEDI 12 NOVEMBRE 2011 Ce matin, réveil à 8h, mais nous prenons tout notre temps. Nous sommes proches du but, à peine 3 h de route.
Nous reprenons la route en direction d'Alice-Springs. Nous prenons le temps de faire quelques arrêts, ici pour voir une termitière, là pour voir un jardin d'enfant désespérément vide, sous ce soleil de plomb rien d'étonnant, ou encore pour observer un monument.
Vers midi, nous nous arrêterons manger à Ailerons, en nous dirigeant vers le roadhouse, nous passons à côté d'une galerie d'art aborigène, et nous décidons de nous y rendre après le repas.
Nous visitons la galerie qui est petite, mais très bien agencée, il y a des peintures sur toile, des sculptures sur bois, des instruments de musique comme les musicals sticks (des bâtons spéciaux pour taper le rythme) des jardineries et des mini moulins à vent typiques de la région, mais peint par un artiste local.
Le propriétaire de la galerie nous permettra d'essayer les didgeridoos, c'est extrêmement difficile d'en sortir un son, mais l’expérience est à la fois intéressante et amusante.
L'homme nous parlera de lui, de ses expériences françaises, des artistes qu'il expose, et il nous indiquera un village aborigène ou nous rendre pas très loin d’Alice springs.
Nous arriverons au motel à 4 heures de l’après-midi, nous nous installons, les enfants resteront à l'appartement, pendant que je ferai les courses pour les 6 prochains jours. Je dois êtres rentrés avant 20h, car, aux dires de nos hôtes, la nuit, Alice-Springs est une ville dangereuse. BILAN DE LA TRAVERSEE La traversée du désert australien est une expérience unique, les paysages sont fantastiques, la vie est absolument différente de tous les lieux que nous avons traversés. Ici, l'homme peux adapter la nature à lui que dans une certaine limite. Le territoire est tellement vaste, le climat tellement rude, et les animaux tellement dangereux, que l'homme est obligé d’être sur ses gardes. |